• Le Corsica Ferries
  • Alain a fait la route, avec Daniel, jusqu'à Toulon où ils ont pris la mer pour Bastia
  • Tête de Maure, adoptée en 1755 par Pascal Paoli comme emblème de la Corse
  • Arrivée à Bastia le mardi matin
  • Préparation... le «Cargo » est à l'aéroport
  • Et on a retrouvé la clé !
  • L'équipe est au grand complet : Daniel, Jean Louis Hérard, K'ptain, Laurent, Alain, Nathalie, Stéphane, Pascal, Valérie, Philippe
  • Derniers préparatifs à Borgo
  • Les vélos sont prêts, eux !
  • Nathalie « Ça y est on est partis !»
  • Nathalie et Philippe
  • K'ptain : première ascension. Ortale (7 km à 5%)
  • Valérie, Jean-Louis Hérard, Pascal Boulez
  • Le désert des Agriates
  • Pieve
  • Eglise de Santo-Pietro di Tenda
  • Première descente vers le désert des Agriates
  • Le beau temps est avec nous
  • Des petites routes, du soleil. Le décor est planté !
  • En attente du Master pour conduire Nathalie aux urgences
  • Pietra Quand t'es dans le Désert des Agriates depuis trop longtemps... tu ne chantes plus ! T'as soif
  • Allez ! la première Pietra (excellente bière locale).
  • L'assiette Corse
  • Quelque chose à dire ? Olivier ?
  • Valérie sourit, elle a confondu dessert et désert !
  • La sortie du désert des Agriates
  • Ça roule cool... et ça roucoule
  • L'anse de Paraiola
  • Il fait chaud... mais la mer est en vue
  • Les yeux fixés sur la mer
  • Tout schuss vers Lozari
  • Les eaux turquoise de l'anse de Paraiola
  • Belgodère
  • Belgodère. Un peu de fraîcheur à l'ombre
  • Eh oui Laurent, on vient de tout en bas, de la baie de Lozari
  • Daniel - Même pas mal !
  • Stéphane en plein effort
  • C'est bon ? Allez, on repart !
  • C'est parti pour 27km de montée
  • Non, ce ne sont pas les mimosas du Tanneron
  • Arrivée de la 1ère étape à Tartagine.
  • Oh le beau.... chèvrefeuille, mal rasé
  • Tartagine. Détente méritée  après 125 km et un dénivelé de 2600 m
  • Alors qu'est-ce-qu'on mange, ce soir ? Ah, le malin singe !
   

Gilles Rousseau, qui aime tant la Corse, doit jouer un rôle important dans la gestion du véhicule.
Malheureusement, à quelques jours du départ, il est victime d’une crise de cruralgie qui le cloue à Orgerus.
Il faut revoir les plans.
Alain Lemaire (merci Alain) annule son avion et accompagne Daniel dans l'acheminement du véhicule jusqu'à Toulon...
Ils y récupèrent Philippe Feutry qui a préféré prendre le TGV.
Laurent Lammens les rejoint.
Il est descendu en voiture pour prolonger son séjour, après notre périple en Corsica…

Le Tour de Corse de l'UVO
au total : 1 000 km et 20 000 m de dénivelé +

Première étape :
Borgo (Bastia) à Tartagine (en Balagne)
124 km • 2 200 m de D+


Après de longs mois de préparatifs (circuit, étapes, restauration, hébergement, logistique et j'en passe)
voici enfin venu le temps de la récompense...
Première journée bien chaotique, marquée par la chute de Nathalie.
Elle fera un tour par les urgences de Calvi, mais remontera sur son vélo, avec courage et envie.
...et par une triple crevaison du Président (ça c’est plus rigolo)
dans le final d'une route où il y a plus de trous que de bitume.
Cette étape inaugurale est un aperçu de ce qui nous attend : soleil, mer, et, surtout ! montagne.
 

J1EquipeComplet

De gauche à droite, frais comme des lardons, l'UVO au complet (Etape 1) :
Daniel notre Président, Jean-Louis Hérard, K'ptain Jean-Louis, Laurent Lamens, Alain Lemaire,
Nathalie Feutry, Stéphane Boudry, Pascal Boulez, Valérie Ladiré, Philippe Feutry

 
 
 Nous sommes arrivés par avion : Nathalie Feutry, Valérie Ladiré, Stéphane Boudry, Jean-Louis Hérard, Jean-Louis Bouysset, et moi (Pascal Boulez). Nous rejoignons le master garé non loin de l’aéroport. Le déchargement des vélos est déjà entrepris par Daniel et Alain…

 Les clés du camion
 Montage des vélos, enfilage des tenues cyclistes estampillées UVO (c’est comme le Port-Salut, c’est écrit dessus !), réglage des GPS. Goude ! Merde où sont les clefs du camion ? Ouf, nous les retrouvons (et heureusement parce qu’il n’y a pas de double…). Départ du peloton. Laurent et Stéphane doivent conduire le Master à Lozari. Puis revenir vers nous à Vélo. Philippe et Nathalie assureront la conduite pour finir l’étape.
 
 Le mal de mer
 Ça, c’est la théorie. Et c’est super. Mais la pratique… à 500 m après le départ, dès le premier rond-point… Tiens-tiens ! Il en manque deux ! Demi-tour !
 La roue arrière de Nathalie n’a pas supporté le mal de mer. Le pneu (tout neuf !) frotte sur le cadre. Changement de roue et c’est reparti ! Nous sortons de la zone aéroportuaire pour attaquer le premier col (col de la Vierge : 443 m) sous une bonne chaleur.
 Première descente et patatras. Nathalie bloque sa roue arrière au freinage dans un virage et s’étale devant moi. Je fermais la marche.
 Ça se corse…
 Les autres ont disparu. Nathalie est bien râpée au bras et à la cuisse, un gravillon planté dans un avant-bras ; douleur ; la tête qui tourne… Aïe aïe ! Ça se corse, sans jeu de mots… J’essaye d’appeler le groupe, pas de réseau ! Nathalie récupère doucement, nous repartons, tranquille et nous rejoignons le groupe qui nous attend. Il faut appeler Laurent ou Stéphane pour qu’ils reviennent avec le master. Nathalie doit se faire recoudre. Ils étaient déjà sur le vélo (25 km).
 Nous nous arrêtons devant un resto fermé mais la sympathique propriétaire des lieux lui prodigue les premiers soins.
 Nathalie ne va toujours pas bien.
 En plein désert
 Immobilisé, le reste du peloton se restaure au milieu du « désert des Agriates » d’une assiette corse arrosée de Pietra (la Pietra est une bière belge, mais corse. Si !). Le Master récupère Nathalie. Philippe (son mari), l’emmène vers Saint-Florent. Là-bas, on les enverra aux urgences à Calvi.

 Le pneu tire au flanc
 Le peloton UVO repart vers l’hébergement, passage à Lozari et ses plages turquoise ; puis 25 km de montée vers (Col de la Croix, 928 m) ; puis 20 km de faux plat descendant ; puis les 10 derniers sur une route, non ! Sur un sentier pourri. Des nids, pas de poules mais d’autruches. Triple crevaison de… Daniel (son pneu neuf est coupé sur le flanc). Enfin la maison forestière, mais pas de master, donc pas de vêtements. Il est 18 heures, il finira par arriver à 19 h 30 avec Nathalie : une momie en bandelettes. Heureusement un bon repas Corse, et une bonne nuit (réparatrice donc corse itou) devraient nous préparer pour la suite (on est quand même debout depuis 3 h 30 ce matin).